Sécurité et lutte contre le trafic de drogue

Policier de dos avec un bel écusson "police"

  • Lutte contre la petite délinquance et incivilités graves.  Lutte contre le trafic de drogue
    • Renforcement de la présence policière dans les rues, notamment en début de nuit afin d’accélérer les interventions. 

    • Techno-surveillance mobile.       

    • Cibler les actions.   Par exemple : ‘visite’ des garages av Jupiter, cambriolages dans les maisons du côté Stuart Merill, J-B Baeck & avenue Joffre, avenue Van Volxem, attaque à la machette rue Wielemans Ceuppens, fusillade à Saint-Antoine et à l’Altitude 100…
    • Cibler les actions contre les points de ventes habituels de deal de drogue (Albert, parcs de Forest et parc Duden, Saint Antoine, Saint Denis, bus 48). Un peu partout en fait.
    • Développer des partenariats locaux de prévention (PLP) en collaboration avec les comités d’habitants et la police.
    • Augmenter la présence policière dans les rues
    • Penser l’aménagement de l’espace public de façon à augmenter la sécurité et le sentiment de bien-être par des mesures physiques et concrètes. On appelle cela le Security by Design.
      Contre-exemple : le plan good move qui a parfois facilité les trafics divers.
    • Réinstaurer une unité de police de proximité forestoise pour lutter spécifiquement contre la petite criminalité, le deal de rue, le harcèlement dans l’espace public et les vols avec violence.
    • Créer, dans le cadre de la mise en place de l’IPPJ (Institution Publique de Protection de la Jeunesse), une cellule sécurité – impliquant la police, la commune et l’institution –, qui sera en contact et à l’écoute des habitants afin non seulement de les informer sur les mesures de sécurité qui encadreront les jeunes qui y sont placés, mais également en prenant toutes les dispositions en matière de police qui assureront à tous de vivre de manière apaisée.
    • Demander un audit de l’organisation de la zone de police Midi afin d’en améliorer son efficacité.

  • Prévention

    • Collaborer avec le secteur associatif et la zone de police pour mettre en place des missions d’information et de prévention des violences intra-familiales.
    • Renouer le dialogue entre nos jeunes et la police par l’organisation d’activités sportives (foot, rugby, tournois), culturelles et d’échange.
    • Créer du lien entre les plus jeunes et la police par exemple par l’organisation d’une journée prévention et sécurité à destination des écoles primaires et secondaire où les enfants seraient amenés à rencontrer les métiers de la sécurité (policier, pompier, ambulancier, médecin, magistrat, prévention).

  • Accueil des victimes

    • Optimiser l’accueil des femmes victimes de violence lorsqu’elles portent plainte. Formation à donner aux services de police pour continuer le changement dans les mentalités.
    • Rendre plus efficace le dépôt de plaintes en ligne en transposant les plaintes dans le système d’encodage (ISLP) afin que les signalements soient repris dans les données de la police et ne tombent pas aux oubliettes.

  • Etat d’esprit

    • Faire confiance aux policiers.
    • Soutenir les policiers en leur donnant les moyens adéquats et en les soutenant, a priori, en cas de litiges.
      Ne pas donner le nom d’un délinquant à un nouvel arrêt de bus…

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